Ce n'est pas le tout de s'intéresser aux applications électroniques et informatiques adaptées au modélisme ferroviaire , on se prend au jeu et on se met vite en tête de réaliser un petit circuit !
La base a été réalisée au moyen de panneaux MDF d'une épaisseur de 4mm.
Ces panneaux, de dimension 120 x 52 cms, sont assemblés « en sandwich » sur des chevrons de 27 x 27 mm.
L'intérieur du « sandwich » est destiné à accueillir l'électronique et le câblage .
Les rails sont des Fleischmann Profi (avec ballast).
Une petite application écrite en Python, Track Map, peut vous simplifier la vie ...
1200 * 520 # Dimensions du plan
270, 50, 0 # Coordonnées du point de départ
666
225, 180 # extérieur droit
430,15
430,-15
418.25
192, 180
610.2
192, 172.5
222
225.6 , 7.5
418.25
225.6, 180
824.7, 485.3, 195
111
717.5 , 456.6, 195
111
610.3, 427.9, 195
225.6 , 7.5
444
55.5
717.5 , 456.6, 195
430, 15
192 , 7.5
430, -15.0
333
55.5
Les cantons sont nécessaires pour éviter que les trains ne se rentrent l'un dans l'autre
Pour éviter cela, les ingénieurs ont mis au point un système de cantons basé sur un principe très simple
Les exemples qui précèdent sont basés sur la signalisation en vigueur en Belgique, mais le principe est le même dans les autres pays; seules différent la forme et/ou la disposition des signaux.
En pratique, les trains ont généralement besoin d'une certaine distance pour s'arrêter, surtout s'ils sont lourds et/ou s'ils roulent à une vitesse élevée : on a donc ajouté un signal supplémentaire, en plus du rouge-vert décrit ci-dessus : le signal de ralentissement, généralement composé de deux lampes de couleur jaune-orange.
En cas de mauvaise visibilité (ou en cas de panne d'une lampe), le fait d'avoir deux lampes permet de renforcer la sécurité. Le vocabulaire du chemin de fer parle de « double jaune ».
Notons que sur les lignes importantes, où les trains circulent à une vitesse élevée, on ajoute parfois un quatrième type de signal, destiné à avertir le conducteur suffisamment tôt qu'il va rencontrer un signal de ralentissement : c'est le vert-jaune.
(En fait, il existe un signal vert-jaune horizontal et un vert-jaune vertical, mais ces subtilités ne sont volontairement pas détaillées ici).
Pour être complet, il faut également parler de la marche à vue (ou, en Belgique, du « petit mouvement »)
En effet, il arrive parfois que deux trains doivent occuper momentanément un même canton (par exemple, dans le cas de la formation d'un seul grand train au départ de deux petits, etc).
Ce cas est prévu par le signal rouge-blanc.
Un petit dessin valant mieux qu'un long discours, ce qui précède peut se résumer comme suit :